Départ pour Höfn, connu pour ses produits de la mer dont la langouste. Nous traversons quelques fjords. Les paysages sont époustouflants.
La petite ville de Höfn n’a rien d’exceptionnel mais leur sandwich à la langouste est excellent ! Nous ne nous y attardons pas, nous avons rendez-vous à 14h pour faire du motoneige sur le deuxième plus grand glacier d’Europe : le Vatnajökull. Sur la route, une petite pause s’impose sur une magnifique plage de sable noir.
On arrive sur le lieu de rendez-vous, un Islandais nous accueille et nous conduit au sommet du Vatnajökull dans un gigantesque 4×4. Une étendue blanche apparaît devant nous sous un ciel parfaitement bleu. Le conducteur nous dit que nous sommes chanceux car c’est rare d’avoir un aussi beau temps par ici. Le temps peut aussi changer très vite alors on profite de chaque seconde.
Arrivés en haut, on nous équipe de combinaisons, gants, casques et c’est parti pour 2h ! Nous changeons de conducteur lorsque nous faisons des pauses (trop souvent et trop longues à notre goût). C’est une première pour nous deux mais le scooter des neiges reste facile à conduire.
Il est déjà temps de redescendre. Nous remercions nos guides pour cette parenthèse dans ce paradis blanc et reprenons notre tout petit 4×4 pour Jökulsárlón.
Nous arrivons sur un grand parking plein de bus, on avait perdu l’habitude des touristes ! Le sud est beaucoup plus fréquenté que le reste de l’Islande. Beaucoup de visiteurs ne restent que quelques jours et ne se rendent qu’autour de Reykjavik, au cercle d’Or et à Jökulsárlón.
Quel spectacle devant nous ! Des blocs de glace noirs, blancs ou d’un bleu profond s’étendent à perte de vue. Ils descendent directement du Vatnajökull. C’est un endroit rêver pour n’importe quel propriétaire de drone. D’ailleurs en voilà 4 qui vrombissent au dessus de nos têtes. On attend qu’ils se posent et c’est parti !
Nous dormirons au Fosshotel Glacier lagoon. C’est un hôtel 4 étoiles a une demi heure de Jökulsárlón. Il y a très peu d’établissements hôteliers dans le sud, en tout cas pas assez par rapport au nombre de touristes grandissant.
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